Le dernier opus est l’occasion d’émettre des souhaits et Isa en tête veut faire une masta sortie.
C’est Autrans qui est choisi. J’y ai été en janvier, visiter la boucle du fond, donc j’ai encore en mémoire les difficultés d’équipement, les méandres, la quantité de matos, sauf que cette fois, ils ne sont que 5, ce n’est pas la même danse.
Les stagiaires sont majoritairement chauds bouillant pour aller au fond, mais après quelques échanges, ils préparent les kits pour équiper jusqu’à -400 et aller se perdre du côté de la barrière blanche.
-400 est atteint péniblement et après quelques échanges sur la chronologie et l’état de fatigue des stagiaires, nous prenons la décision de rebrousser chemin, sans même aller voir plus loin.
Nous sortons bien cramés après 18h sous terre, mais nous retrouvons le sourire en engloutissant le bon repas préparé par Doudou avant d’aller dormir un cycle ou deux.
Le lendemain, tout le monde est bien fatigué, c’est le bazar pour le rendez-vous de nettoyage, lieu non connu de certains et qui se trouve à 40min, certaines cordes doivent finalement être nettoyées, mais une partie est sous terre. C’est le bazar pour rendre le gîte, certaines chambres ne sont pas vidées, l’heure de retour du lavage annoncée est dépassée, bref difficile de savoir comment être utile pour un carx fatigué qui doit récupérer sa choupette le soir même.